(Présentation ci-après, chirurgie et photos des chirurgies réalisées par le Dr LE Laurent)
(Pour un avis chirurgical, merci de bien prendre rendez vous avec le médecin surspécialisé dans cette spécialité : Dr LE Laurent)
Le ptosis correspond à une chute d’une paupière supérieure.
Les causes peuvent être multiples : relâchement des tissus, musculaire, nerveuse ou de naissance.
Le traitement consiste dans la majeure partie des cas en la chirurgie.
Trois grands types de chirurgie sont faisables : réinsertion par voie de pli (vois externe), mullerectomie (voie interne) ou suspension frontale (voie externe).
Votre chirurgien choisira la technique la plus adaptée.
Photos de chirurgie par le Dr LE Laurent
L'entropion correspond à une rotation interne du bord libre de la paupière inférieure.
Les causes peuvent être multiples : relâchement des tissus, cicatriciel ou de naissance.
Le traitement consiste dans la majeure partie des cas en la chirurgie.
Trois grands types de chirurgie sont faisables : canthopexie externe, orbiculectomie ou fractures tarsales.
L'ectropion correspond à une rotation externe du bord libre de la paupière inférieure
Les causes peuvent être multiples : relâchement des tissus, cicatriciel ou de naissance
Le traitement consiste dans la majeure partie des cas en la chirurgie
Trois grands types de chirurgie sont faisables : canthopexie externe, réinsertion des rétracteurs ou lambeau cutané
Photos de chirurgie par le Dr LE Laurent
Contraction involontaire des paupières (blépharospasme)
Le traitement consiste à l'injection de toxine botulinique à but curatif
L'efficacité du traitement débute 10 jours environs après l'injection
Dans des cas de blépharospasme résistant à la toxine, le blépharospasme peut être traité par une orbiculectomie. Ce traitement consiste à l'ablation du muscle orbiculaire qui se contracte
Ces lésions sont multiples : angiomes, papillomes, nævus, xanthélasma ...
Le traitement consiste à l'ablation de la lésion. Une reconstruction par une greffe ou un lambeau peut être nécessaire. La lésion sera automatiquement examiné par un médecin anatomopathologiste.
Ces lésions sont multiples : carcinome baso-cellulaire, carcinome spino-cellulaire, mélanome, adénocarcinome
Le traitement consiste à l'ablation de la lésion. Dans le même temps, un examen EXTEMPORANE est réalisé et ceci est un point essentiel car votre chirurgien sait en direct si la lésion a été enlevée en totalité. Une reconstruction par une greffe ou un lambeau est souvent nécessaire. La lésion sera automatiquement examinée par un médecin anatomopathologiste afin de confirmer le diagnostic et les marges saines.
Photos de chirurgie par le Dr LE Laurent
DIAGNOSTIC
Les circonstances de découverte :
L’examen clinique :
EVOLUTION
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
TRAITEMENT
En phase aiguë : le traitement est médical et comprend une pommade anti-inflammatoire et antibiotique :
Au stade enkysté :
Il faudra systématiquement apprendre au patient des règles d’hygiène palpébrale afin d’éviter la récidive :
DEFINITION
C’est une INFECTION BACTERIENNE AIGUË, le plus souvent à STAPHYLOCCUS AUREUS, d’une ou plusieurs GLANDES DE ZEIS OU DE MOLL
DIAGNOSTIC POSITIF
Le terrain :
Les circonstances de découverte :
L’examen clinique :
EVOLUTION
TRAITEMENT
Il repose sur :
L’incision chirurgicale est rarement indiquée et est réservée aux orgelets résistants au traitement médical.
DEFINITION
Le ptérygion est une lésion oculaire prenant la forme d'une membrane blanche qui se développe au niveau de la conjonctive et qui progresse sur la cornée. Il peut être unilatéral ou bilatéral. IL se forme généralement dans le coin interne de l'œil.
CAUSE
Le ptérygion concerne les personnes qui sont exposées pendant de longues périodes à des rayonnements solaires intenses.
SYMPTOMES
Au début discret, il peut gagner ensuite progressivement la cornée.
Des symptômes se manifestent alors :
Définition d'un ptérygion
Chirurgie d'un ptérygion
DEFINITION
Les tumeurs conjonctivales sont des proliférations anormales au niveau de la conjonctive. Elles peuvent se situer au niveau de l'ensemble de la conjonctive : bulbaire (au contact du globe oculaire) et palpébrales.
CAUSES
(Présentation chirurgicale réalisée par le Dr LE Laurent)
(Pour un avis chirurgical, vous pouvez prendre rendez vous avec un des chirurgiens du centre)
(Présentation ci-après, chirurgie et vidéos des chirurgies réalisées par le Dr LE Laurent)
(Pour un avis chirurgical, vous pouvez prendre rendez vous avec un des chirurgiens du centre)
INTRODUCTION
La chirurgie réfractive est l'ensemble des techniques permettant de traiter la myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme et la presbytie. Elle permet de s'affranchir et de se libérer des lunettes et des lentilles.
Deux grandes techniques chirurgicales laser existent : le LASIK et la PKR qui vous seront détaillées ci-après.
Pour être éligible à la chirurgie réfractive, il faut être âgé de 21 ans et que votre amétropie soit stable depuis au moins 2 ans.
Après une première consultation avec le médecin, un bilan au centre de chirurgie réfractive vous sera prescrit.
Celui-ci sera gratuit et permettra de savoir si votre cornée est éligible au traitement laser.
Il sera nécessaire d'arrêter les lentilles une semaine avant le bilan.
Le but principal sera d'éliminer un kératocône frustre qui pourrait induire une ectasie cornéenne post opératoire.
Afin de répondre aux premières questions, visualisez la vidéo en nous rejoignant sur le lien :
VIDEO : Les réponses à mes premières questions (par le Dr LE Laurent)
Cette méthode consiste à remodeler la cornée en utilisant une technique 100% laser.
Ce laser se passe en deux phases :
Pour voir le déroulement du laser, rejoignez nous sur le lien :
VIDEO : Animation LASIK
Cette méthode consiste à remodeler la cornée en utilisant le laser EXCIMER seul.
La cicatrisation prend quelques jours, la récupération visuelle est plus longue que pour un lasik et moins confortable. Elle est utilisée surtout pour les cornées trop fines pour le lasik.
Ce laser se passe en deux phases :
Pour voir le déroulement du laser, rejoignez nous sur le lien :
VIDEO : Animation PKR
VOS QUESTIONS
Est-ce que ça fait mal ?
Pendant l’intervention, vos yeux et vos paupières seront anesthésiés grâce à un collyre et vous n’aurez donc pas de douleur. Vous pourrez sentir parfois une sensation de pression momentanée à une étape de l'intervention.
Quand puis-je retourner travailler ? ou bien Combien de temps après puis je reprendre mes activités ?
Tout dépend du type d’intervention qui a été choisi. S’il s’agit d’un LASIK, vous pourrez reprendre vos activités au deuxième jour après l'intervention ; le brouillard devant les yeux ainsi que la légère gêne ressentie pendant les heures qui suivent l’intervention se seront dissipées. Il faudra hydrater avec soin vos yeux grâce aux collyres prescrits par votre chirurgien. S'il s’agit d’une PKR, il faudra discuter de cela avec votre chirurgien car tout dépend de vos activités mais il faudra prévoir au moins 3 à 5 jours de repos après l’intervention.
Combien de temps cela prend ?
La correction au laser ne prend en elle même que quelques minutes.
Le temps total est plus long car il comprend le temps de préparation : il faut compter pour un LASIK 30 minutes pour changer la correction des deux yeux. Le temps est encore plus court pour une technique PKR, de l’ordre de 20 minutes environ.
En tout, le jour de l’intervention, il faut compter passer environ une heure à une heure trente.
Comment se déroule la prise en charge ?
Votre chirurgien ophtalmologiste vous fera une première consultation afin de valider l'indication et d'éliminer les contre indications majeures de l'intervention : myopie évolutive, kératocône, cornées pathologiques, amblyopie, cataracte, âge non compatible, grossesse en cours, inflammations de l’œil, la sécheresse oculaire intense, certaines maladies (diabète mal équilibré, rhumatisme inflammatoire) ...
Il vous enverra alors faire un bilan gratuit au centre de chirurgie réfractive consistant à réaliser des examens très poussés, pour vérifier que vos yeux pourront supporter le laser et pour prendre les paramètres chirurgicaux requis pour réaliser l'intervention.
Votre chirurgien vous recontactera alors pour programmer l'intervention (ou pour vous expliquer les résultats ne permettant pas de réaliser l'intervention)
Quelles sont les précautions à prendre le jour de l’intervention ?
Pour l’intervention, prévoyez d’être accompagné pour votre retour chez vous, et prévoyez des lunettes de soleil car les lumières environnantes peuvent être très éblouissantes. Si votre chirurgien vous a déjà fourni l’ordonnance avec les traitements post opératoires, prenez-les avec vous ; nous vous expliquerons comment les administrer.
Si vous êtes opéré avec une technique LASIK, nous vous fournirons des coques en plastique transparent afin de protéger vos yeux, la nuit, de mouvements incontrôlés.
Puis je venir accompagné pour l’opération ? Oui, une personne extérieure sera précieuse pour vous raccompagner chez vous car votre vision risque d’être embuée, et les lumières environnantes peuvent être éblouissantes.
Nous vous conseillons de venir en voiture plus que de repartir en transports en commun, sauf si le trajet est vraiment très court.
Comment serais-je anesthésié ?
Pas d’anesthésie générale. Une anesthésie de l’œil et des paupières est pratiquée grâce à l’instillation, à différentes reprises, d’un collyre anesthésiant.
Doit-on opérer les deux yeux le même jour ou pas ?
Oui, les deux yeux sont opérés le même jour.
Quand puis-je me remaquiller ?
Pour des raisons bactériennes et aussi pour des raisons de risques mécaniques nous recommandons de ne pas vous maquiller les yeux pendant 10 jours après votre intervention (pas de mascara, eye liner, crayon ou fard à paupières). Pour ce qui est de maquiller votre visage, vous pourrez recommencer à le faire dès le lendemain.
Quelles sont les précautions à prendre après l’intervention ?
La première règle la plus importante est de ne pas se frotter les yeux.
Vous pourrez reprendre vos activités professionnelles au 2e jour en cas de LASIK et au 3e - 5e jour en cas de PKR.
Quant à la pratique sportive, il est déconseillé de pratiquer quelque sport que ce soit pendant au moins 7 jours après l’intervention.
Je suis fortement astigmate, est-ce un problème ?
Les lasers MEL 80 de Zeiss et VISUMAX de Zeiss que nous utilisons permettent tout à fait le traitement de l’astigmatisme, associé ou non à un autre défaut de la vision (comme l’hypermétropie par exemple), jusqu’à des valeurs de 4,50 dioptries.
A-t-on du recul pour cette chirurgie ?
La technique LASIK est une technique décrite depuis longtemps, et elle est pratiquée de façon courante depuis plus de 15 ans maintenant, partout dans le monde. C’est aujourd’hui le standard des traitements des anomalies de vision, de par la sécurité et la qualité des résultats obtenus. La technique PKR est quant à elle encore plus ancienne.
La grossesse est elle une contre-indication ?
Sous l’effet de certaines hormones, surtout en fin de grossesse, la vision peut être modifiée, le plus souvent de façon réversible. Pour cette raison, nous préférons attendre et proposer l’intervention un peu plus tard.
Quels sont les défauts de vision qui peuvent être opérés ?
tous les défauts des vision peuvent être opérés ; myopie, hypermétropie, astigmatisme (associé ou non à d’autres défauts) ainsi que la presbytie. Les limites interviennent quant à la puissance du défaut, et cela dépend des paramètres de votre cornée, qui seront analysés par le chirurgien lors du bilan préopératoire.
Qu’est-ce que l’eye tracking ?
C’est un système installé sur le MEL 80, dérivé des techniques militaires, qui permet de suivre les micro mouvements de vos yeux pendant le traitement. Ainsi, le laser suit vos yeux, et applique le traitement exactement là où il doit être appliqué.
Comment vais-je me sentir en rentrant chez moi ?
Après l’intervention, le plus courant est d’être sensible aux sources lumineuses. Des lunettes de soleil peuvent vous aider temporairement. De plus, la gêne temporairement ressentie est beaucoup plus supportable les paupières fermées, c’est pourquoi nous vous conseillons de venir accompagné. Cette personne pourra aussi vous aider à vous diriger éventuellement dans les transports en commun. Une fois chez vous, nous vous conseillons de rester au calme, et de prendre les traitements prescrits par votre chirurgien.
Comment vais-je me sentir pendant le laser ?
Peut-être impatient, ou un peu nerveux, et ceci est tout à fait normal. Toute l'équipe sera là pour vous rassurer et vous expliquer au fur et à mesure tout ce qui est fait, et faire en sorte que ces 20 à 30 minutes de traitement soient les plus agréables possible pour vous.
Qu’est ce qui se passe si, pendant le laser, je regarde ailleurs ou si j’ai envie de cligner ?
Avant de commencer, votre chirurgien vous aura prévenu, et ce sera assuré que vous avez bien compris quoi regarder (en général une lumière colorée). Il déclenchera alors le laser, tout en vous rassurant par la voix, et en s’assurant que vous fixez toujours au bon endroit. Le système d’eye tracking est là aussi pour suivre les micromouvements de votre œil pendant les quelques secondes que dure le traitement. En cas de mouvement trop important, la procédure laser s'arrête automatiquement.
Que faire si ma cornée est fine ?
Une épaisseur minimale est en effet souhaitable, afin de réaliser le changement de forme de la cornée dans les meilleures conditions de sécurité.
Malheureusement, certaines formes de cornée ou une épaisseur trop fine peuvent contre-indiquer l'intervention.
Quelles sont les différences entre le traitement de la presbytie et celui des autres défauts de vision ?
Le traitement de la presbytie est pratiquée avec une méthode LASIK. Elle diffère des autres traitements par la programmation du laser qui doit faire intervenir le Laser Blended Vision et qui va traiter les deux yeux de façon différenciée en se basant sur la nature ; chacun a un œil naturellement « directeur », préférentiel pour la vision de loin ; l’autre œil étant préférentiel pour la vision de près. Le principe est d’accentuer cet état naturel : l’œil directeur sera traité pour une bonne vision de loin et intermédiaire, et l’autre pour une vision intermédiaire et de près. Le mélange de ces deux visions permet une augmentation de la profondeur de champ. On obtient ainsi une bonne qualité de la vision de loin et de près et une excellente vision intermédiaire binoculaire. La vision intermédiaire est la plus utilisée dans la vie courante (travail sur écran, conversations, cuisine, jardinage, courses dans les magasins…).
Que penser de la mono-vision ?
La mono vision est une technique d’intervention LASIK qui permettait de traiter les cas de presbytie, avant que PresbiViz ne soit disponible. Le principe est d’opérer un œil pour voir de loin uniquement, et l’autre pour voir de près uniquement. Ce type de traitement peut donner d’excellents résultats, en fonction de la plasticité cérébrale du patient, même si les résultats en ce qui concerne la vision intermédiaire (ordinateur…) sont souvent perfectibles.
Qu’est-ce qu’un strabisme ?
Les muscles oculomoteurs (commandés par les nerfs) permettent le mouvement des yeux.
Un patient normal a « les yeux droits », permettant une vision cohérente avec une bonne perception du relief.
Le strabisme survient chez 3 à 4% de la population générale, l es axes visuels ne sont alors plus parallèles.
Le plus souvent, la mobilité des yeux est normale. Parfois, dans les problèmes musculaires ou neurologiques, la mobilité est anormale.
Il existe de nombreuses formes de strabisme. Les plus fréquemment rencontrés sont des déviations des axes oculaires avec une mobilité des yeux normale. Plus rarement, il existe une déviation due à un dysfonctionnement d’un muscle ou d’un nerf oculomoteur (c’est le cas des paralysies oculomotrices).
Ce désalignement peut se manifester à certains moments (intermittent) ou de manière constante. Le strabisme est classé en fonction de la direction du désalignement. Lorsqu’un œil regarde droit devant, l’autre oeil peut dévier vers l’intérieur (ésotropie ), vers l’extérieur (exotropie), vers le bas (hypotropie) ou vers le haut (hypertropie).
Quels sont les traitements ?
Les traitements varient en fonction du type et de la cause du strabisme.
Ils peuvent être :
- Des verres de correction.
- Un pansement adhésif.
- Des gouttes oculaires peuvent être instillée pour troubler temporairement la vue de l’œil dominant.
- Des exercices peuvent être prescris pour renforcer les muscles oculaires spécifiques : orthoptie.
- Parfois une intervention chirurgicale au niveau des muscles oculaires peut s’avérer nécessaire, notamment lorsque les verres de corrections ne sont pas suffisants pour aligner les yeux.
Définition : Une fine membrane peut faire son apparition à la surface de la rétine maculaire, entrainant une dégradation de la vision ainsi qu’une déformation de la macula.
Cette membrane apparait sans véritable cause, elle est idiopathique, souvent chez les personnes âgées de plus de 65 ans. Dans certains cas, son apparition peut être due au déchirement ou au décollement de la rétine, à une inflammation ou encore à un traumatisme.
Le diagnostic de cette pathologie est réalisé au cours de l’examen du fond d’œil. La réalisation d’un OCT maculaire est recommandée, tout comme dans certains cas l’angiographie de la rétine à la fluorescéine afin de déterminer les conséquences sur la rétine de la membrane épirétinienne.
Pourquoi opérer ? L’intervention chirurgicale de la membrane épirétinienne sera recommandée si le malade est sujet à une dégradation progressive de la vision, l’empêchant d’exercer ses activités quotidiennes normalement, mais également lorsqu’il constate une déformation des images (métamorphopsies) notamment lors de la lecture.
L'opération de vitrectomie pour membrane prémaculaire : L'intervention est réalisée alors que le patient est installé sur le dos, en milieu chirurgical stérile et sous microscope. Elle consiste, par un geste endo-oculaire, à retirer dans un premier temps le vitré. Dans un second temps, à l'aide de micro-instruments, la membrane est "pelée" de la surface de la rétine. La difficulté de ce pelage sera appréciée par le chirurgien pendant l'intervention. Il peut arriver qu'il ne soit pas possible d'enlever la membrane en totalité, sous peine de causer des lésions plus importantes à la rétine. Le chirurgien en décide pendant l'intervention et peut être amené à tout moment à modifier son plan initial.
Hospitalisation : Une immobilisation minimale de quelques heures est nécessaire. Le mode d'hospitalisation adapté à votre cas vous sera proposé par votre ophtalmologiste en accord avec l'anesthésiste.
Anesthésie : L'œil peut être insensibilisé par des injections de voisinage (anesthésie loco-régionale). Une anesthésie générale est également possible. Le choix résulte de l'avis de votre ophtalmologiste et de celui du médecin anesthésiste. Il prend en
compte, si possible, votre souhait.
Évolution : Dans la très grande majorité des cas, l'œil opéré de membrane prémaculaire est indolore. Le premier résultat perceptible est la diminution voire la disparition complète des déformations visuelles. La récupération de l'acuité visuelle est progressive et peut être incomplète. Les récidives sont rares. La présence d'autres lésions de l'œil peut limiter la récupération visuelle.
Les soins locaux sont réduits à l'instillation de collyres plus ou moins à l'application d'une pommade et au port d'une protection oculaire selon des modalités et durant une période qui vous seront précisées par votre chirurgien.
L'activité professionnelle, l'utilisation de machines ou d'instruments dangereux, la conduite automobile sont déconseillées pendant une période limitée qui sera définie par votre ophtalmologiste.
Définition : la création d'un trou maculaire entraine un affaiblissement de l'acuité visuelle, avec discernement d'un scotome central (tache dans le champ visuel), ainsi que des métamorphopsies (déformations des images).
Le trou maculaire est souvent idiopathique (sans cause identifiée), et se manifeste sur un œil n’ayant jamais eu d’antécédent.
Cette pathologie peut aussi se manifester suite à une contusion importante du globe oculaire, ou être associée à une myopie forte.
Le diagnostic du trou maculaire est réalisé grâce à la procédure d'examen du fond d'œil et à l’OCT.
Le traitement chirurgical permet résorber le trou maculaire dans la majorité des cas et de noter une amélioration indéniable de l’anatomie.
Pourquoi opérer ? L'opération de vitrectomie pour trou maculaire e st réalisée alors que le patient est installé sur le dos, en milieu chirurgical stérile et sous microscope. Elle consiste, par un geste chirurgical endoculaire, à retirer dans un premier temps le vitré (vitrectomie).
Dans un second temps, à l'aide de micro-instruments, des membranes peuvent être retirées de la surface de la rétine centrale. L'intervention s'achève en remplissant l'œil avec un gaz.
Le gaz est éliminé progressivement au cours des premières semaines qui suivent l'opération. Les voyages en avion ou à la montagne sont contre-indiqués en présence de gaz intraoculaire. En cas d'anesthésie générale pour un autre motif, la présence de gaz intraoculaire doit être signalée à l'anesthésiste. Le chirurgien peut être amené à tout moment à modifier, selon le déroulement de l’intervention, son plan initial.
Evolution : La récupération visuelle dépendra de l’ancienneté et de la taille de votre trou maculaire ainsi que des éventuelles autres lésions oculaires et de l’obtention ou non de la fermeture de votre trou maculaire.
Elle se caractérise, en cas de fermeture du trou maculaire, par une amélioration progressive sur plusieurs semaines à mois.
Les soins locaux sont réduits à l'instillation de collyres plus ou moins d'une pommade et au port d'une protection oculaire selon des modalités et durant une période qui vous seront précisées par votre chirurgien.
Concernant votre activité professionnelle, l'utilisation de machines ou d'instruments dangereux, la conduite automobile sont déconseillées pendant une période limitée qui sera définie par votre ophtalmologiste.
Attention, le décollement de rétine est une urgence : si vous avez ou suspectez un décollement de rétine vous devez consulter en urgence votre ophtalmologiste ou aller aux urgences ophtalmologiques de la Fondation Rothschild.
Définition : Il correspond à une poche de liquide sous la rétine (L'œil est constitué comme un appareil photographique. La cornée et le cristallin, situés dans la partie antérieure de l'œil focalisent la lumière sur la rétine, qui joue le rôle de pellicule de cet appareil photographique). Le décollement de la rétine est le plus souvent provoqué par le développement d'une ou plusieurs déchirures rétiniennes.
L'opération du décollement de la rétine : L'intervention est réalisée alors que le patient est installé sur le dos en milieu chirurgical stérile et habituellement sous microscope. Elle représente un geste chirurgical majeur, car elle consiste à réappliquer la rétine décollée par l'une ou l'autre des méthodes décrites ci-dessous, diversement associées suivant le cas :
Pendant l'opération, le chirurgien peut à tout moment être amené à modifier son plan initial.
Hospitalisation : Une immobilisation minimale de quelques heures est nécessaire. Le mode d'hospitalisation adapté à votre cas vous sera proposé par votre ophtalmologiste en accord avec l'anesthésiste.
Anesthésie : L'œil peut être insensibilisé par des injections de voisinage (anesthésie loco-régionale). Une anesthésie générale est également possible. Le choix résulte de l'avis de votre ophtalmologiste et de celui du médecin anesthésiste. Il prend en compte, si possible, votre souhait.
Evolution : Dans la très grande majorité des cas, une réapplication rétinienne est obtenue. La récupération de la vision dépend de l'état de la rétine avant l'intervention, et ne peut être jugée avant plusieurs mois. La présence d'autres lésions de l'œil peut la limiter.
La réussite de l'intervention dans les cas où du gaz est injecté dans l'œil dépend du maintien de la tête dans une certaine position. Le gaz est éliminé progressivement au cours des premières semaines qui suivent l'opération. Les voyages en avion ou à la montagne sont contre-indiqués en présence de gaz intra-oculaire. En cas d'anesthésie générale pour un autre motif, la présence de gaz intra-oculaire
doit être signalée à l'anesthésiste. Une intervention chirurgicale ultérieure est nécessaire pour enlever l'huile de silicone.
Des récidives du décollement sont possibles. Dans ces cas, il est nécessaire d’envisager une ou plusieurs opérations complémentaires. Un traitement complémentaire par photocoagulation au laser peut être appliqué après l'opération.
Les soins locaux sont réduits à l'instillation de gouttes, à l'application d'une pommade et au port d'une protection oculaire selon des modalités et durant une période qui vous seront précisées par votre chirurgien.
L'activité professionnelle, l'utilisation de machines ou d'instruments dangereux, la conduite automobile sont déconseillées pendant une période limitée qui sera définie par votre ophtalmologiste.
Chirurgie par voie interne : vitrectomie
Chirurgie par voie externe : indentation sclérale
Définition :
L’hémorragie intra vitréenne correspond à une hémorragie au sein du gel vitréen. En général, ces hémorragie disparaissent. Il est conseillé aux patients de bien s’hydrater afin d'éliminer plus rapidement les hémorragies. Parfois, elle peut être amenée à persister longtemps et à entraîner une baisse durable de l'acuité visuelle, dans ce cas il peut être proposé une chirurgie.
La rétinopathie diabétique proliférante est une atteinte de votre rétine en lien avec le diabète (rétinopathie diabétique) compliquée par l’apparition de vaisseaux anormaux à la surface de la rétine ou de la tête du nerf optique. Ces vaisseaux anormaux occasionnent des hémorragies dans le vitré et/ou des décollements tractionnels de la rétine et/ou un glaucome néovasculaire.
Pourquoi opérer la rétinopathie diabétique proliférante ?
Soit pour enlever le sang dans le vitré, soit pour prévenir ou traiter un décollement de rétine, ou un glaucome néovasculaire.
L'opération de vitrectomie pour rétinopathie diabétique proliférante :
L'intervention est réalisée alors que le patient est installé sur le dos, en milieu chirurgical stérile et sous microscope. Elle consiste, par un geste chirurgical endoculaire, à retirer le vitré (vitrectomie). Selon les cas, des gestes complémentaires seront associés : coagulation des néovaisseaux, section des brides, laser endoculaire, injections intraoculaires (anti-VEGF, corticoïde, gaz, huile de silicone), suture d'un matériel synthétique sur la paroi externe de l'œil, pelage maculaire. Pendant l'intervention, le chirurgien peut à tout moment être amené à modifier son plan initial sans pouvoir en informer le patient.
Larmoiement ou épiphora
Sondage des voies lacrymales
Dacryocystorhinostomie (DCR) endonasale
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